Malte, une île curieuse perdue au milieu de la méditerranée.
Dès qu’on arrive on comprend qu’il faut penser la circulation à l’envers. Comme au Royaume-Uni.
En approchant de la zone touristique San Gilian, on découvre des bâtiments à l’architecture originale, colorée.
Une corniche de plusieurs kilomètres…
…avec des immeubles et bateaux
… des bassins artificiels où s’engouffrent des vagues. Concept curieux mais orignal.
…et des touristes ou habitants qui profitent des endroits un peu aménagés pour passer du bon temps.
En face, on aperçoit la capitale la Valette
La nuit venue, on découvre une capitale vive et à taille humaine. Le centre de la capitale la Valette s’électrise. Animations, des terrasses bondées.
Malte est une île, mais il n’y a pas les belles plages qu’on pourrait trouver ailleurs en Méditerranée.
Une plage a donc été aménagée près de San Gilian pour le plus grand bonheur des touristes et locaux. En juin l’eau reste quand même un peu fraîche.
Le soir la vie est animée, jeune, dynamique.
En se rapprochant de la corniche on peut découvrir une carte postale : la marina et toutes ces lumières.
Mais le plus connu de Malte et étape incontournable : Blue lagoon. Il s’agit d’un lagon bleu proche de l’île de Comino.
Le spectacle est saisissant. Je ne m’imagine pas qu’en Méditerranée il y ait un lagon d’un bleu turquoise.
C’est un lieu prisé des visiteurs et les coins plage sont très limités. De fait les gens se mettent en hauteur pour profiter de la vue et bronzer.
Je poursuis la visite sur l’île un peu rocailleuse. Peu de visiteurs s’y aventurent, mais en explorant les alentours, des décors incroyables s’offrent à moi.
EN RÉSUMÉ : A à peine 3 heures de vol de Paris, pour un week-end le dépaysement est garanti. Profiter de la plage, de l’ambiance très jeune.